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La famille Teka récompense ses lauréats

Famille TEKA Yaoundé

C’est à travers une cérémonie enlevée que les élèves et étudiants ont reçu du matériel ce 25 septembre 2011 au domicile de Manfo Donmeza David sis à Tam-tam weekend à Yaoundé.

 

 

« Encourager les enfants dans leurs travaux académiques afin qu’ils représentent une relève sûre demain ». L’objectif de cette cérémonie qui veut imprimer ses marques est clair. Action de portée sociale et davantage symbolique, les différentes prises de parole des parents ont été riches de sagesse et de conseils. « Ce coup de pouce que nous vous donnons vise à faire de vous des hommes et des femmes plus grands que vos parents que nous sommes » a déclaré Ndieumoho Zem, père de Teka le regard plein d’espoir. Jiotsa Victor le Président de la réunion de famille est resté dans la même veine en paraphrasant le philosophe Jean Paul Sartre quant à la nécessité pour un homme de se réaliser et de se définir dans la société, tout en exhortant les enfants à redoubler d’ardeur au travail. Un vœu aussitôt rassuré par Gisèle Kana, la représentante des lauréats qui après avoir remercié papiers, cahiers et stylos, a promis au nom de ses frères et sœurs de mieux faire cette année scolaire et académique débutante.

Par ailleurs, les enfants ont été félicités pour le respect du droit d’ainesse manifesté à l’endroit des parents et leur connaissance de la langue maternelle ainsi que de l’arbre généalogique de la famille, testés lors d’un jeu questions-réponses. Pour joindre l’utile à l’agréable, le buffet muni de mets variés et traditionnels a été apprécié à sa juste valeur par l’assistance. La boisson n’a évidemment pas manqué et l’on a terminé en beauté sur les pas de danse du « pinguiss ».

Interviews

Kem KANA Victor, chef de famille

Famille Teka de Yaoundé

« Le bananier ne survit que par ses rejetons ».

Qu’est ce qui a motivé l’organisation de cette cérémonie de récompense ?

Cette œuvre vise à assurer la relève au regard de la difficulté de la vie et surtout de l’insertion socio professionnelle des jeunes. Nos enfants doivent pouvoir s’épanouir et cela passe par de bons résultats scolaires que nous avons jugés bon d’encourager à notre manière.

Quels ont été les critères de sélection de ces lauréats ?

Tous les efforts sont dignes d’être récompensés. C’est la raison pour laquelle nous avons primé tous les lauréats du Bepc au Master. Ils sont vingt cette année et nous comptons augmenter ce chiffre l’année prochaine.

Avez-vous rencontré des difficultés dans l’organisation ?

J’avoue que le principal handicap a été la précipitation car les enfants n’ont pas été informés dès le début de l’année d’une cérémonie. Ce préalable les aurait boostés davantage. C’est un manque que nous avons déjà corrigé pour l’année prochaine.

Qu’est ce qui figure dans vos perspectives ?

Nous voulons construire Bafou, notre cher et beau village. Une ambition qui commence dans chaque famille où les parents doivent être soucieux de l’éducation de leur progéniture. La première richesse d’un pays ou d’un village ce sont les hommes, mais alors des hommes de qualité. D’où l’importance de l’éducation. Nous allons étendre les récompenses à davantage de lauréats. D’ailleurs, nous avons pris de l’avance et il existe une petite tontine dans notre réunion pour aider les enfants en difficultés car nous voulons leur succès.

Avez-vous un dernier mot à ajouter ?

Je veux avant tout remercier le site www.bafou.org pour la bonne communication sur les activités concernant notre village. Ensuite je remercie mon homonyme le chef supérieur Fo’o Ndong Victor Kana III qui m’a fait son Souffo. Je matérialiserai cet honneur avec les notables dans un avenir proche. Par rapport à la cérémonie de récompense que nous avons organisée, je lance un appel à l’endroit des parents en leur rappelant le dicton selon lequel  « le bananier ne survit que par ses rejetons ». Donc nous devons assurer l’éducation de nos enfants pour le grand bien et la pérennité de nos familles, de notre village.

Diane Kemloh, lauréate au Master I en Médecine l’ISTM

Famille Teka de Yaoundé

« Nous en sommes très reconnaissants »

Comment avez vous accueilli ces primes ?

Avec beaucoup de joie et de gratitude mais également de surprise car je ne m’y attendais pas. Un classeur, des papiers formats et des stylos de plus, cela va certainement combler un vide et je suis heureuse de les recevoir de nos parents de la grande famille.

Vous avez certainement quelques doléances à émettre à ces parents…

Bien sûr. Je leur demande de pérenniser cette cérémonie de récompense car elle nous motive beaucoup. Par ailleurs je suggère à l’avenir de plus grands classeurs et pourquoi pas des livres et dictionnaires ? Enfin je propose qu’ils offrent des livrets et cahiers de dessins aux tous petits enfants du primaire et de la maternelle.

Famille TEKA Yaoundé

Famille TEKA Yaoundé

Famille TEKA Yaoundé

Famille TEKA Yaoundé

Famille TEKA Yaoundé

Famille TEKA Yaoundé

Famille TEKA Yaoundé

Famille Teka de Yaoundé

 

 

Famille Teka de Yaoundé

Famille Teka de Yaoundé

Famille Teka de Yaoundé

Famille Teka de Yaoundé

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