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Fanews by Faboba

Me Michel Janvier VOUKENG célèbre son Cinquantenaire

Me Voukeng

Autrefois la vie était un peu plus monotone. Le nombre de femmes et d’enfants exprimaient la valeur d’un homme. Avec l’avènement de la civilisation occidentale, d’autres valeurs ont pris la place. La valeur intellectuelle ou le pouvoir d’achat d’une personne définissent désormais sa classe sociale. Pour mériter l’une ou l’autre de ces deux valeurs, on est soumis à beaucoup d’épreuves. Le manque de ténacité, de perspicacité et d’endurance éliminent progressivement les personnes qui aspirent à la grandeur. Certains malheureusement n’arrivent même pas à survivre face aux intempéries de la vie. Nous comprenons donc la fierté de tous ceux qui parviennent à vivre au-delà d’un demi-siècle comme Me VOUKENG. Si les Etats fêtent avec tant de faste leur cinquantenaire, à plus forte raison les individus.

Me VOUKENG Michel Janvier n’est pas resté indifférent au jour anniversaire de son cinquantenaire. Le 19 Janvier 2014 restera gravé dans le grand livre de cette famille comme un grand jour car, en présence de parents et d’amis, ce dernier a marqué un moment pour dire merci au Seigneur pour lui avoir permis d’arriver à vivre pendant un demi-siècle. A travers deux messes d’actions de grâce organisées à sa résidence sis au quartier Logpon à Douala, respectivement le Samedi 18 Janvier 2014 à 19 et le Dimanche 19 Janvier 2014 à 12 h 30, Me VOUKENG a exprimé sa reconnaissance au Très Haut, tout en lui confiant à nouveau sa protection jusqu’à son prochain centenaire. Aussi, il a saisi l’occasion pour exprimer sa profonde gratitude à l’endroit de son épouse, de sa famille, de ses amis sans qui il ne serait pas arrivé à ce niveau.

Dans une ambiance très familiale, la famille Voukeng a servi après ces messes plusieurs buffets aux invités dont certains avaient effectué le déplacement de Yaoundé, de Bafou, de Suisse, … Notons qu’au fur et à mesure que les invités retardataires arrivaient, les buffets spéciaux étaient rapidement dressés pour ces derniers. Comme dirait quelqu’un les champagnes de qualité ont été bus en quantité, d’ailleurs à la place du gâteau du cinquantenaire, Me VOUKENG a plutôt présenté deux champagnes de deux litres chacun qui ont été ouverts par Messa Mathias SOBGO Gabriel et son confrère venu de Suisse pour l’évènement.

Au soir de la célébration de cet évènement unique dans la vie, Me VOUKENG s’est livré au micro de Bafou.org

Une fois de plus bonsoir Me VOUKENG. Que représente pour vous cette date du 19 Janvier 2014 ?

Merci. C’est une année de grâce pour moi car je fête mon cinquantenaire. Je ne peux pas proprement parler d’un anniversaire car il y a une coutume récente maintenant qui consiste à regarder ce qu’on a fait pendant les cinquante ans passés. Cette coutume est plus remarquée au niveau des Etats nouvellement indépendants. Cette coutume s’est progressivement étendue aux individus. Donc pour ma part, je n’ai rien fait de particulier que de me conformer à cette coutume en invitant certains de mes frères, de mes amis et tous les membres de ma famille pour évaluer avec eux ce temps que j’ai eu la grâce de vivre.

Quels sont les points marquant de ces cinquante ans ?

De manière générale il n’y a pas de point vraiment particulier. Ce que je sais, c’est que j’ai fait de mon mieux sur les plans professionnel et familial. Je crois avoir été toujours à l’écoute de ma famille, de mes frères et sœurs, de mes amis, … Il faut dire que les difficultés n’ont pas manqué, mais globalement je peux dire que j’ai pu les surmonter pour me situer à la hauteur des défis que j’ai eu à relever depuis le collège jusqu’à ma profession en passant par l’université. C’est pour cela que j’ai marqué un temps d’arrêt aujourd’hui pour regarder dans le rétroviseur, tout en remerciant le Seigneur pour toutes ses grâces.

Maître, si vous aviez à refaire sur quel point alliez-vous mettre l’accent ?

Je dirais que sur un passé assez récent de ma carrière, j’ai souvent manqué de tolérance. Il y a certaines choses que j’aurai du laisser passer. Si j’avais à refaire, peut-être que je serais un peu plus tolérant, un peu plus compréhensif. Mais il faut comprendre que je n’avais pas cinquante ans !

A bien comprendre, vous placez les cinquante prochaines années sous le signe de la tolérance ?

Pas forcément de la tolérance pour la tolérance. Il faut savoir que chacun a son tempérament. Je me compare à un arbre et non à une liane pour dire qu’il y a un niveau de contorsion au-delà duquel je ne pourrai plus supporter. C’est ma nature. Je suis prêt à être tolérant, mais il y a un seuil en dessous duquel je ne descendrai jamais. Je supplie seulement le bon Dieu qu’il me donne quelque chose de bien et qu’il m’épargne des épreuves.

Maitre, il se pourrait que beaucoup se font une idée peut-être pas très bien de vous. A quoi cela est-il du ? Est-ce juste un problème de tempérament ?

Je sais qu’on ne lance pas de pierres sur un arbre qui ne produit pas de fruits. Je comprends aussi que dans le feu de l’action, on ne mesure pas souvent assez l’idée que les autres peuvent se faire de vous. Je comprends ces personnes et je sais que nul n’est parfait. Je vais seulement travailler à améliorer cet indice de perception. Ce que je sais c’est que tous ceux qui ont eu à m’approcher savent que derrière cet aspect de dureté, sommeille un homme aussi normal que tous les autres. Simplement j’ai des principes sur lesquels je ne m’assieds pas très souvent et ça ne me fait pas que des amis. Je l’assume complètement car je n’ai pas l’ambition d’être un saint ou un prophète.

Au cours de l’homélie, le prêtre a beaucoup insisté sur la réconciliation et la tolérance. Comment avez-vous perçu ce message ?

C’est un thème qui est d’actualité, pour l’apaisement. Vous savez que Mandela, qui était l’icône de l’apaisement et de la réconciliation, vient de mourir. Ça remet au goût du jour cette question. Je crois que chaque être humain conscient de la brièveté de la vie par rapport à l’éternité doit s’y conformer. Je suis pour la réconciliation. Je suis pour l’apaisement. Je suis pour la tolérance, mais que cela soit réciproque.

Quel est votre plus grand vœu pour vos cinquante prochaines années, puisque nous vous le souhaitons ?

C’est d’abord la longévité de mes parents, qu’ils continuent à me protéger, à me prodiguer des conseils. Je souhaite que ma belle famille, ma propre famille biologique, mes frères et mes sœurs aient longue vie. Qu’ils aient la paix et la santé. Je souhaite à mes amis, et même à ceux qui ne le sont pas, longue vie également. Peut-être qu’avec le temps ceux qui sont contre moi changeront d’avis. Je leur souhaite tout le bien et remets tout entre les mains de Dieu.

Vous êtes avocat au barreau du Cameroun, à ce titre quel message en direction des jeunes qui vous admirent et vous considèrent comme un modèle ?

Qu’ils croient en eux tout en sachant que chacun a son étoile. Je suis un homme qui voit le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide. Que chacun croie d’abord en lui-même ; qu’il mette son fardeau sur le genou et Dieu l’aidera à le poser sur sa tête. Je suis de ceux qui pensent que Dieu dans sa magnanimité n’oublie personne. Mais il faut savoir que les voies du Seigneur ne sont pas celle des hommes. Que personne ne se décourage. On dit qu’il y a le chômage, mais tous les jours on recrute ! Chacun finit toujours par avoir quelque chose. Dieu n’oublie personne. Vraiment, il faut être vif et attentionné, endurant, tolérant et travailleur. Je sais que personne n’est appelé à vivre et à mourir sans connaitre la grâce de Dieu car comme disait Johnny Halliday, « ce qui ne vous tue pas vous rend fort ». Je demande aux jeunes d’être forts et de surmonter les épreuves.

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