La famille MEKONTCHOU a dignement accompagné la regrettée Mme MEKONTCHOU née NGOKENG Martine à sa dernière demeure
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- Publié le mardi 20 décembre 2011 13:45
Mme MEKONTCHOU née NGOKENG Martine arrachée brutalement à la vie le 24/11/2011 a été inhumée ce Samedi 17 décembre 2011 à son domicile sis au quartier Ndoh, dans la partie nord du Groupement Bafou, Arrondissement de Nkong-Ni, Département de la Menoua.
Née le 27/10/1962, elle aura passé 49 ans un mois sur la terre, le temps de séduire les cœurs des personnes qui l’ont connu au point où ses obsèques étaient comparables à celles d’une grande reine. Après trois jours de lamentation juste après le décès, tout avait été suspendu du 28/11/2011 au 07/12/2011. C’est à partir du Jeudi 08 décembre 2011 que le deuil a repris avec une messe suivie d’une veillée sans corps au domicile de son fils, M. NGUIKENG Arnold à Ndogbong (SOCAVER) Douala. Pour cette famille chrétienne, c’est par la prière et les messes que la disparition de cette épouse exemplaire, de cette mère parfaite, … s’est déroulé jusqu’à l’enterrement.
Imposante par sa prestance, feue Mme MEKONTCHOU Martine était une femme très dynamique qui aimait le travail, et surtout le travail bien fait. En plus de sa famille professionnelle, elle était très active au sein de plusieurs associations où elle occupait aussi d’importants postes de responsabilité, d’où la multitude de gerbes de fleurs et de témoignages à le jour de son inhumation.
Femme au parcours atypique, en dehors du CEPE c’est dans le mariage qu’elle a fait ses études jusqu’à l’obtention de la Licence et le concours d’entrée à l’ENAM d’où elle est sortie Contrôleur des impôts. Notons qu’à sa mort, elle était Receveur des Impôts au chef-lieu du Département de la Mefou et Afamba à Mfou.
De la levée de corps à l’Hôpital de la CNPS de Yaoundé à l’enterrement au village, la présence des milliers de personnes témoignait déjà ce qu’a été maman Martine. Les témoignages prononcés à ses obsèques confirmaient seulement ce qui était visible à travers ses présences. De ses petits enfants à S.M. Fo’o Ndoh en passant par les enfants, les associations, le représentant du Ministère des Finances, … les mêmes adjectifs étaient utilisés.
La particularité est venue du témoignage du désormais veuf, M. MEKONTCHOU Etienne, qui a dit : "Je sais que tout au long de sa vie, Martine aurait, par ignorance, causé du tort à certains de ses proches. Puisqu’elle ne peut plus parler, je demande pour elle des excuses à ces personnes, … aussi j’accepte pour elle le pardon de ceux qui l’auraient éventuellement offensée".
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