HOMMAGE A TEGNI JEAN NGUIMAPI (« Directeur », « Reagan »)

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Publié le mardi 26 avril 2011 16:58

HOMMAGE A

TEGNI JEAN NGUIMAPI (« Directeur », « Reagan »)

1955-29mars 2011

« c’est à Dieu seul, mon âme qu’il te faut te remettre, auprès de Dieu se trouvent mon salut et ma gloire, Dieu est notre refuges » Ps 62. (6-9)

Tous les remerciements de la famille à l’Ambassade du Cameroun en France et aux différentes équipes médicales qui ont encadrées notre frère, père, notre Chef secteur, notre Président et ami Jean durant toutes les phases de sa maladie, notamment :

- le Dr Marthe PNDY NKEN, médecin conseil de l’Ambassade du Cameroun en France

- le Dr TAYEB et l’équipe médicale de l’Hôpital Européen Georges Pompidou à Paris

- le Pr KHAYAT Gérard et l’équipe médicale de l’Hôpital Américain de Neuilly Sur Seine.

Message de Son épouse :

Adieu, mon amour

Jean, mon amour, tu as été pour moi un météore ; Que d’amour, que de sacrifices, que d’attention, que de patiences…

Tu es la lumière qui a illuminé ma vie et dont le souvenir et la présence invisible nous accompagneront, les enfants et moi toute notre vie.

Jean, mon amour, tu as été tout au long de ta vie, engagé, sociable et très généreux.

Merci pour ce grand amour que tu nous as donné, à moi ton épouse, tes enfants, ta famille et tous ceux qui t’ont connu.

Que Jésus Christ qui est le chemin et la lumière de ce monde t’accompagne vers Dieu le Père tout Puissant. Repose en paix.

Ton épouse

Marie Brigitte NGUIMAPI

Les enfants

Papa,

Tu es parti tu nous laisses seuls mais nous savons que ce n’est pas ce que tu voulais, mais nous ne t’en voulons pas car nous savons que là où tu es tu reposes en paix et que tu veilles sur nous comme tu l’a toujours fait.

 Ce qui est sûr, c’est que tu nous laisse avec beaucoup de ton savoir.

Ta joie de vivre, tes blagues qui nous faisait tant rire, ton rire moqueur, tes coups de gueule et tes conseils pour nous faire rappeler le bon chemin à suivre, toutes ces petites choses mais qui étaient à nos yeux très précieuses vont nous manquer. Sache une chose c’est que tout ce que tu nous as transmis restera gravé en nous. Papa, nous t’aimons, on ne te le disait pas souvent mais tu le savais

Tu vas nous manquer NOTRE PAPA CHERI ON T’AIME

Florence, Cédric, Wilfried

Ah papa !

Franchement je ne sais plus quoi penser. Tu nous noies dans la tristesse. Pour l’instant, je ne me rends pas compte que tu es parti pour de bon, j’essaie d’être fort psychologiquement et mentalement. Tu sais que tu me laisses plus qu’une  charge, tu me laisses les œuvres que tu n’as pas eu le temps d’accomplir, surtout veiller sur la famille et moi en tant que ainé des garçons, je ferais tout pour continuer ce que tu n’as pas pu finir et surtout veiller sur maman que tu laisses dans la détresse totale ceci grâce à l’aide de Dieu. Des bons souvenirs de toi, il y en a tellement, tu as toujours eu les mots pour nous faire rire, les conseils à nous apporter. Je t’ai tout dit la dernière fois que je t’ai vu à l’hôpital sauf une chose. Que je t’aimais tant et que quoi qu’il arrive, tu seras toujours présent pour moi que ce soit en chair ou en esprit.

Papa, je ne te dirai pas au revoir mais à bientôt. Amen.

Lionel NGUIMAPI

Tonton Jean

Tu as été un des membres de la famille qui fut à nos côtés de l’enfance jusqu’au moment où tu  nous quittes. Que de peine, de regrets, de douleur et de larmes ce soir du 29 Mars 2011 à ton chevet à l’hôpital Américain de Neuilly !

Ton dynamisme, ta gentillesse, ta joie de vivre faisant partie de tes nombreuses qualités faisaient de toi un oncle adorable et surtout inoubliable.

Si tu n’es plus à nos côtés, c’est que tu as accompli ta mission et que Dieu notre Père vient de te rappeler auprès de lui. Repose en paix.

Marlène, Audrey et Ange-Maurice TSOBGNI

 Enfant spirituel 

Il y a quelques mois que j’étais avec toi à la réunion de Mendzong. Il y a quelques mois tu présidais notre réunion de l’amicale Menoua. Aujourd’hui, c’est un bien mauvais scénario que tu nous joues.

Je sais que ce n’est pas celui que tu avais choisi. Lorsque j’étais avec toi à l’hôpital, j’avais espoir que la guérison prenait le bon chemin. Aujourd’hui la mort t’a emporté toi qui aimais tellement la vie comment te dire ma tristesse de te voir partir.je suis orphelin, sans toi la vie a perdu son goût sucré.

Mon deuil va être long, comment oublier un être cher, une personne précieuse.

Toutes les formules de condoléances ne soulagent pas de la douleur d’un décès.

Ton cercueil est un bateau qui t’amène là où il fait plus beau, au  pays de tes ancêtres. Le jour de ton enterrement, mon Adieu n’est en fait qu’un au revoir.

Ta mort, nous enseigne que la vie  s’éteint un jour, que rien n’est éternel. Merci d’avoir été celui que  tu as été pour moi.

Chansons d’enterrement, discours d’enterrement

Poèmes et les lettres d’amitié s’enchaînent pour t’accompagner vers ta dernière demeure.

Le tombeau n’est qu’un passage menant vers le plus beau des cieux, le ciel du paradis des justes au cœur pur. Ta mort n’est qu’un recommencement, ton décès une renaissance. Adieu Tagni

KENFACK Etienne (Tsuete)

La famille Tankeu

Mo’o

Tagni, ce patriarche de la grande famille Tetsobjio, au caractère bien trempé et à la main bien généreuse, fut la première voix familiale que j’entendis, du fond de l’Allemagne, un peu pommé en 1987 ; quel réconfort … Peut-on le résumer, non ! Regardons ensemble quelques unes de ses facettes.

La tradition : Ce patriarche, amoureux de nos traditions, a réussi à faire comprendre aux enfants nés en France qu’on peut s’appeler TAGNI et vivre aussi dans notre France « laïque » ; ainsi, pour les enfants c’était TAGNI. Ne riez pas, il y en a de notre génération qui crois toujours devoir « franciser » …

L’art culinaire : Bon vivant, c’est aussi ce patriarche qui a réussi à fédérer autour de lui les amoureux des animaux et les amoureux de notre culture culinaire très gibier. D’où viendrons désormais nos traditionnels bouillons de fin d’année à Paris ?

L’art du désintérêt : Ce même patriarche était passé maître dans l’art de rendre service. A tout heure, à tout instant, la beauté du geste étant toujours le désintéressement ; même sur son lit d’hôpital, certain n’hésitaient pas à lui demander service, et lui a essayé de rendre service ; une leçon pour beaucoup d’entre nous.

Pour tout dire, nous avons même fini par oublier que pour les démarches administratives, il fallait se rendre à l’ambassade ou au consulat ;

Le service sans frontière, un vrai patriote : Que dire de ces inconnus qui, depuis son départ, rentrent dans son salon, s’installent, se recueillent et repartent comme ils sont venus ? A l’un d’eux, pris au hasard, à qui je demandais qui il était, il m’a répondu « Après six jours de galère administrative, on m’avait encore renvoyé à la semaine suivante. En sortant, j’ai croisé ce monsieur, il m’a demandé ce qui n’allait pas. Après mon explication, il a pris mes documents, est monté à l’étage et une heure après c’était réglé. Nous ne nous connaissions pas, il ne m’a rien demandé en retour ; je tenais à lui rendre hommage ».

Avec notre patriarche, le fameux adage « la grandeur, la vraie, c’est celle qui reste après notre départ » prend tout son sens. Fier de l’homme et de son œuvre, nous sommes comblés de nous rendre compte que ce que nous pensons de notre patriarche, est partagé bien au-delà de notre famille.

Repose en paix !

Pour la famille Tankeu – Mo’o Tchou Ken-heu

Les amis

YO’Ö

Tu as été pour moi un merveilleux conseiller, un complice. De toi j’ai retenu la leçon qu’il faut toujours être disponible à rendre service dans la mesure de ses possibilités.

Tes blagues, ta bonne humeur contagieuse vont me manquer. Mais où d’autre peux-tu mieux être ? Sinon auprès de notre Père céleste !

Que tes bonnes œuvres t’ouvrent les portes du bonheur sans fin.

Tu ne fais que nous devancer.

Cécile Agokeng

Brigitte, chers enfants

Nous venons de perdre un des grands pionniers de l’histoire de la construction permanente de la famille Menoua de France. Il présidait encore jusqu’à ce jour « l’Amicale, fille de l’ARMF » cette institution que nous avions créée en son temps pour consolider le socle de la Menoua, c’est sa persévérance dans l’action inlassable qui est à souligner ici.

Je vous prie d’accepter mes sincères condoléances et celles de toute ma famille.

Jean Paul Djoumessi

Les Associations

Amicale Menoua Cameroun de France

Président,

Tu as su mettre ton expérience au service de la communauté Menoua en tant que membre fondateur de l’Amicale Menoua quand notre communauté en avait besoin. Lorsque la communauté a souvent été traversée par des moments de turbulence, nous pouvions compter sur tes précieux conseils et ton abnégation à faire rebondir notre cercle d’amis. Nous avons tous encore en souvenir le jour ou tu nous as annoncés ta maladie à l’AMCF, quelques temps avant le renouvellement de notre bureau. Mais cela ne t’as pas empêché de briguer la présidence. Tu as mené cet engagement avec dévouement, jusqu’à ce que la maladie ne vienne stopper les projet de ta mandature. Nous avons la ferme intention de mener ces projets à terme. Ainsi par exemple, tu as insisté pour le bien culturel de nos enfants qu’une visite au musé du débarquement soit inclus dans le week-end en mer du mois de juillet 2011. Le bureau que tu as constitué va appliquer cette volonté. Nous regrettons déjà que cela se fera en ton absence. Tout comme nous restons aussi très écœurés par le fait que tu n’as pas pu voir la vidéo de la remise de l’enveloppe annuel de Paulin avant de nous quitter, enfant dont la mère est handicapée et que nous soutenons au Cameroun.

Soit ! le seigneur a voulu te rappeler à ses côtés. Président, la brutalité de ton départ, nous laisse encore sans voix.

Va en paix et que la terre de nos ancêtres te soit légère.

Le Bureau de l’AMCF

Le Mendzong Bafou d’Europe

Mon cher grand frère Jean,

Mon Cher Chef de Secteur, mon Soldat de toujours !!!

Le Mendzong  Bafou d’Europe vient de perdre un de ses plus illustres parmi nous ; notre frère d’arme Jean. Tu nous a abandonné ce soir du mardi 29 mars 2011 dans la prairie de la vie.

C’est la volonté du Créateur et nos ancêtres t’appellent auprès d’eux.

Je sais qui tu es aujourd’hui !!! Jusqu’au bout, jusqu’à ton dernier souffle, devant nous agonisant, tu as cherché l’union, la réconciliation dans ta famille. Je te vois encore la veille de ton départ, lundi 28 mars, après une conciliation familiale, à ta demande, devant ton lit d’hôpital, dire merci, essayer de dire merci alors que tu n’avais plus la voix, plus de force, oubliant ta souffrance physique, une lumière de bonheur est sortie  de ton visage. Soldat Nguimapi, « Directeur », je t’ai vu tel que tu es, as toujours été, amour des autres avant toi-même. C’est cela la Grandeur de l’homme, rare, très rare.

Nous tes soldats du Mendzong, dans notre souffrance, savons que ta place est auprès du Seigneur pour ce que tu as fait sur cette terre. Tu nous manqueras toujours.

Jean, que tes ancêtres t’accompagnent lors de ton dernier voyage comme nous le faisons ce jour. Voyage dans la Paix et donne cette Paix à ton épouse Brigitte et vos enfants.

KEM  MENKA

Président MENDZONG Bafou d’Europe

La famille Bafou d’Europe

Mon cher vaillant fils Bafou, bon voyage sur le chemin de retour dans la Sainte Maison de Dieu le Père et Créateur de toute chose. Tu as mené le bon combat, tu as aidé tous ceux qui sont venus te demander un service à l’Ambassade du Cameroun à Paris, moi en particulier ; dans ta vie de tous les jours tu as été d’une simplicité  qui permettait à tout le monde de venir vers toi dans les bons et les mauvais moments de leur vie. Ton implication au sein de la famille Bafou de France a été d’un grand secours inoubliable, malheureusement tu nous quittes à un moment où cette communauté est entrain de se restructurer pour développer davantage notre village. Contre vents et marées tu as tenu la barre, pour tout ça, je te remercie de tout mon cœur.

Je te promets que nous veillerons sur ta famille et surtout sur ta chère maman que Dieu n’a pas voulu que tu enterres avant de quitter ce monde ; nous ferons des prières et des messes pour toi afin que Dieu Tout Puissant pardonne tes péchés et ne regarde que tes bonnes actions accomplies dans ce monde et t’ouvre sa Sainte Demeure.

Mon cher vaillant fils de Bafou, rentre bien dans la Sainte Patrie Eternelle et que la terre de nos ancêtres te soit légère.

Pierre FOUEGUE (Men Kem Noubong)

Le représentant du Chef Bafou de France

L’Association des ressortissants Menoua de France

Le fils, l’époux, le père, notre frère, notre oncle, notre ami, notre collègue, notre chef de Secteur Nzinkop et l’un de nos Présidents Menoua s’en est allé, à 56 ans à peine. Le mardi 29 mars 2011 à 22h 15 à l’hôpital Américain de Neuilly sur Seine, la maladie a eu raison de sa détermination et de sa dignité. Avec sa disparition, nous perdons un membre actif et constructif, un patriote convaincu, une personnalité attachante, dotée de nombreuses qualités et des valeurs humaines essentielles, qui fondent la richesse d’un individu, dont : son humilité, sa grande générosité, sa réelle disponibilité, son attention aux autres, sa capacité d’écoute et son formidable humour. Sa famille, ses proches et ses amis resteront, pour toujours, inconsolables.

Au nom de toute la Communauté Menoua de France qui reste sans voix et en mon nom personnel, je prie notre DIEU Tout Puissant de l’accueillir auprès de lui et de lui pardonner tous ses errements. Qu’en retour, il intercède auprès du Très Haut afin qu’il protège les siens et leur donne le courage d’aller de l’avant sans lui.

Enfin cher Président, je te souhaite bon voyage, MERCI d’avoir été là et de nous avoir tant donné. Au revoir.

Brigitte Claire Teufack-Chengui

Maffo Ntheoh Mbouh Présidente Menoua France

La famille FOTO de France

A Brigitte Nguimapi et les enfants,

A la famille Nguimapi de France et du Cameroun,

A Sa Majesté Fo’o Ndong Victor KANA III,

A tous les membres de l’Amicale,

A toute la Communauté Bafou de France,

A toute la Communauté Menoua de France,

Toute la Famille FOTO de France est bouleversée par le triste évènement qui vient de frapper la famille.

La Communauté, nous savons ce que Jean représentait pour sa femme et ses enfants, pour l’Amicale, pour toute la communauté Bafou, pour la Menoua. Sachez que nous nous associons à la douleur et que nous sommes de tout cœur avec vous et prenons entièrement part à votre chagrin. Nous nous rendrons massivement samedi prochain à la veillée afin de lui rendre un dernier hommage.

Jean reste et restera à tout jamais dans nos cœurs. Bien affectueusement, pour la Famille FOTO de France

Le Président

André TIOMO

Les Menoua de Lyon

Chère Famille nos condoléances les plus sincères à la Famille Nguimapi. C’est avec émotion et tristesse que nous apprenons cette triste nouvelle. Toute la famille Menoua de Lyon est de tout cœur avec vous pour ces moments difficiles.

Le Président

Dr DONFACK FOKOU Adalbert

La famille Ta’atchou

Monsieur le représentant du Ministre des relations Extérieures,

Monsieur le représentant de l’Ambassadeur du Cameroun à Paris,

Chers parents, Mesdames et Messieurs,

C’est avec beaucoup de chagrin, qu’au nom de la famille Ta’atchou du Ministère des relations Extérieures, j’écris ces propos à l’occasion des obsèques de M. Nguimapi Jean, notre collègue, notre frère, notre ami !!!

Comme vous le savez, Nguimapi a été parmi les membres fondateurs de la famille Ta’atchou, ce cadre de solidarité et d’entraide qu’il aura aidé à sortir des fonds baptismaux, à travers une disponibilité et un engagement sans faille. Il aura à ce titre été un compagnon des premières heures, avec qui nous avons fait face aux défis qui ne manquèrent pas de se poser aux pionniers que nous fûmes.

C’est donc à juste titre que Ta’atchou se sent déboussolé avec la disparition aussi subite qu’inattendue. En dépit de ton éloignement parisien en effet, tu n’avais cessé d’être membre actif, en nous assistant  physiquement si possible, en nous distillant tes précieux conseils au besoin, et, dans tous les cas, en te  conformant rigoureusement aux solutions  qui étaient adoptées.

Nous savions disposer d’un Ambassadeur sur la place parisienne, toujours disposé à nous accueillir et à nous offrir toute l’assistance nécessaire. Comment donc ne pas se sentir déboulé lorsqu’on perd une valeur irremplaçable, cher ami, maintenant qu’on sait que plus jamais on ne bénéficiera plus de cette présence toujours remarquée, de cette verve que d’aucuns pouvaient prendre pour de la jactance, mais qui n’était que l’expression d’une chaleur humaine bien exprimée ?

Dans tous les cas, l’héritage que tu auras contribué à bâtir est là, et nous comptons bien le perpétuer, afin de réaliser ce vœu que nous partagions ensemble : faire de la solidarité et de l’entraide des valeurs communément partagées !!

Ta’atchou a certes subi un coup très dur. Mais nous trouverons la force pour le supporter, en nous-mêmes, dans le fait d’être ensemble. Tous les membres de Ta’atchou sont ici présents pour exprimer cette douleur, mais aussi cet espoir. Et nous  trouverons la force aussi dans toi, Jean. La lumière que tu projetais – de vie, de vigueur, d’innocence et d’amour – était si intense qu’elle continuera à nous éclairer même après que l’astre qui la produisait s’est éteint. Nous avons eu le grand privilège d’être avec toi, merci pour chaque moment où tu as été avec nous.

Nous souhaiterions  que tous ceux qui éprouvent le chagrin de ta disparition trouvent en cet espoir un motif de soulagement, une source de réconfort, car ton itinéraire ici bas n’aura pas été vain.

Mme SONKING  Marie

Présidente de l’Amicale Ta’atchou

du Ministère des Relations Extérieures

Son Employeur

Mesdames et Messieurs, au nom de l’ensemble du Personnel de l’Ambassade du Cameroun en France et en mon nom propre, je voudrais exprimer mes sincères condoléances à la famille si durement éplorée de notre regretté collègue Jean NGUIMAPI, Chauffeur à l’Ambassade du Cameroun en France, qui nous a brutallement quités, le 29 Mars 2011 des suites de maladie. Monsieur Jean NGUIMAPI, en citoyen et patriote modèle, a servi son Pays, le Cameroun pendant des décennies, avec engagement, dévouement et abnégation. Le souci quotidien de ce cher Collaborateur a toujours été de donner entière satisfaction à la hiérarchie et à l’ensemble de ses Collègues.

Il était ainsi l’exemple même du rassembleur, qui ne trompe pas sur sa dignité et les responsabilités de « Doyen » qu’il a si bien assumées auprès des siens et de ses amis.

Nous tous ici présents avons, chacun à sa manière, apprécié cette disponibilité exemplaire de Monsieur Jean NGUIMAPI. Et son Eternel sourire nous manquera à jamais.

Monsieur Jean NGUIMAPI laisse une Veuve éplorée et des enfants éprouvés. Cette Famille continuera de trouver auprès de l’Ambassade une oreille attentive et un soutien de tous les instants.

En ce jour où Dieu a lui-même repris ce qu’il a donné, que son Saint Nom soit glorifié et qu’il reçoive auprès de lui l’âme de son serviteur.

Que la terre de nos ancêtres lui soit légère.

Merci

S.E. MBELLA MBELLA

Ambassadeur du Cameroun à Paris

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